mardi 19 avril 2011

Chronique de l'Arche : Trétiack et Antilogus en liberté


Rappel :  Depuis quelques semaines, la publication de l’Arche, mensuel du judaïsme français a été suspendue sur décision unilatérale du FSJU, le Fonds Social Juif Unifié.  Une décision aussi lamentable qu’incompréhensible. Nous avons choisi de poursuivre notre chronique sur le net, en créant notre blog : trelogus.com, et en attendant que l’Arche soit de nouveau dans les kiosques.


Le dernier message de Meier Wantraiter, notre bien aimé Directeur de l’Arche, signale une « situation plus confuse que jamais ». Faut-il s’en étonner ? La communauté juive est connue pour abriter de nombreux « confus », agités mentaux, complexés et grands névrosés. Il est patent qu’un certain nombre de déséquilibrés ont trouvé refuge dans les instances du FSJU, structure ouverte à tous les désoeuvrés, convalescents  et paranoïaques assoiffés de pouvoir. Mais, comme le disait le rabbin Scwhebb d’Alep :  « De la confusion peut surgir un best-seller ». Amis de l’Arche, reprenez confiance. Rien n’est perdu.
Des situations récentes, où la confusion l’emportait sur le dialogue, ont débouché sur des solutions acceptables par tous.  Ainsi la Côte d’Ivoire, où deux présidents rivaux se bastonnaient la couenne, égorgeaient le tout-venant et se chamaillaient tels sépharades et ashkénazes à la sortie des soldes chez Shalomtex. Eh bien, c’est arrangé. Il n’y a plus aujourd’hui qu’un seul président, formidable, et l’on peut de nouveau réserver une piaule à l’hôtel du Golfe, sans risquer d’être bazooké dans la salle de bain.
En Libye c’était du kif. On a longtemps cru que les rebelles pourraient l’emporter mais à présent, toute confusion est levée. Ces gars-là, des minus, ne seraient pas même capables d’entrer à l’Olympia un soir où ça pousse fort sur le boulevard. A notre tour, nous devons sortir de la crise. Voilà pourquoi nous implorons les troupes de la force Licorne de neutraliser les armes lourdes du FSJU : inertie, double langage, sourires fats, promesses bidons, courte vue, bourrage de mou et enfumage bureaucratique.
En attendant, nous tenons bon, pareil aux défenseurs de Misratah, avec la crainte, tout de même, de voir l’affaire tourner Misratatouille.



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