mardi 24 mai 2011

Chronique de l'Arche : DSKtastrophe

Personne ne l’a remarqué et pourtant ça saute aux yeux : entre femme voilée et femme violée, il n’y a qu’une inversion de lettres. Comme par hasard. De même, entre DSK et JFK, très peu d’écart. Bizarre, non ? Tout cela renifle décidément le coup fourré, monté, et même le cou farci comme autrefois dans le ghetto de Lodz. Bref, ça sent mauvais pour nous les Juifs. 
Nous avions déjà ici-même tiré la sonnette d’alarme, dit combien la nomination de notre ami Dominique au FMI nous semblait susceptible d’attirer sur la communauté tout entière les foudres de nos ennemis les plus pugnaces, musulmans, altermondialistes, femmes de ménage, etc… On remarquera au passage qu’entre ménage et manège, il n’y a pas grande différence. Comme par hasard. Et bien voilà, on y est, c’est le grand souk, le bazar, la « niqba » ! 
Voyons les choses en face : tout est fait pour piéger le juif. Quand il se montre puritain, discret, sanglé sans son caftan poussiéreux, on lui reproche de ne pas vouloir s’assimiler. Mais quand il montre une appétence toute tricolore pour le beau sexe, qu’il joue les séducteurs dans la pure tradition rabelaisienne et gauloise, patatras, on l’incarcère ! On le grandjuryse, on le prosécure, on lui fout la honte. Après le FMI, le FBI ! Faudrait savoir.
Notre camarade Dominique voulait appliquer le programme socialiste à pleines mains. Nous risquons aujourd’hui le pogrome en pleine gueule… Dans la rue juive, les play-boys rasent les murs, les judaic lovers la jouent anthracite, c’est la revanche des petites bites du FSJU. La clientèle ne se bouscule plus chez la marieuse Ida Burnstein. Toutes les photos de pin-up ont été déscotchées vite fait du Mur des Lamentations. On est passés de la stricte observance au district attorney. Sinistre mois de mai. 
Il ne nous appartient pas de dire si DSK est casher ou pas - laissons cette question à la commission rabbinique ta mère -, mais une chose est sûre : il a fallu payer casch. Et cher. CQFD. Quand on pense à tout ce qu’on aurait pu faire pour relancer l’Arche avec ces masses de pognon, on s’en mordille les poings. Avec toutes les patates qu’on se prend dans la poire, il ne faudrait plus parler du centre Rachi mais du centre Rachi parmentier !
Il faut rester unis - comme les chemisiers de Ted Lapidus collection 80. Car le magmas boueux des perfidies antisémites risque d’éclabousser les pare-buffles de nos Porsche Cayenne. Voyons plutôt le bon côté de l’affaire : un juif a prouvé, une fois pour toutes, qu’il pouvait lui aussi se conduire comme un goy - et un sérieux. Bien évidemment, toute notre sympathie va à la victime présumée. La nombreuse communauté juive de Guinée - qui a fui dans la jungle après l’incident - compte prochainement débarquer sur Broadway pour mettre les choses au clair. Madame Sinclair peut préparer son carnet de chèques - qu’elle sache dès à présent que nous sommes acheteurs d’un Cézanne (un grand dans des tons chics, c’est pour aller avec une Buick). 
DSK ne remportera donc pas les primaires, mais rayon primate, il s’impose haut la main. Et le reste. 

mardi 10 mai 2011

Dans notre série : "Sous le turban"

Pour la première fois révélée au monde : la vraie coiffure de Ben Laden.
D'après Jacques Dessange, "la coupe de cheveux en dit long sur le zèbre.  Sous le terroriste sanguinaire, se cachait un romantique un peu fleur bleue. Le défaut de la cuirasse : des mèches rebelles qui ne pouvaient que déplaire à la CIA. D'où l'enchaînement tragique…"

Alerte conso !!!!

 MIAM… Attention, il n'y en aura pas pour tout le monde.

Dans notre série "signalisation routière"

L'interactif gagne chaque jour du terrain. La dernière révolution Jean-Claude Decaux : pour trouver son chemin, rien de plus simple, écrivez vous-même votre itinéraire ! Et vous êtes arrivé. Gros feutres en vente sur les aires d'autoroute. Attention, le rouge est réservé à la police.

Dans la série "signalisation routière"

Et encore un nouveau panneau pour fluidifier le trafic !
"Interdit de tourner en haut".
Attention :  deux points de retrait pour l'ascensionniste ! Avis aux amateurs.

Dernière heure !

La version cubaine de l'émission "Des chiffres et des lettres" brutalement interrompue suite au décès de maître Capelo.Dommage, la donne était bonne, il y avait deux mots de sept lettres. Les trouvâtes-vous ?

Dans notre série : "Juste avant"

Dans un instant, cet homme va se lever et danser la rumba… Que calor !

Dans notre série "latin lovers"

Personne n'a oublié le sourire réformiste du regretté jean Lecanuet. 103 ans déjà qu'il nous a quittés !

mardi 19 avril 2011

Chronique de l'Arche : Trétiack et Antilogus en liberté


Rappel :  Depuis quelques semaines, la publication de l’Arche, mensuel du judaïsme français a été suspendue sur décision unilatérale du FSJU, le Fonds Social Juif Unifié.  Une décision aussi lamentable qu’incompréhensible. Nous avons choisi de poursuivre notre chronique sur le net, en créant notre blog : trelogus.com, et en attendant que l’Arche soit de nouveau dans les kiosques.


Le dernier message de Meier Wantraiter, notre bien aimé Directeur de l’Arche, signale une « situation plus confuse que jamais ». Faut-il s’en étonner ? La communauté juive est connue pour abriter de nombreux « confus », agités mentaux, complexés et grands névrosés. Il est patent qu’un certain nombre de déséquilibrés ont trouvé refuge dans les instances du FSJU, structure ouverte à tous les désoeuvrés, convalescents  et paranoïaques assoiffés de pouvoir. Mais, comme le disait le rabbin Scwhebb d’Alep :  « De la confusion peut surgir un best-seller ». Amis de l’Arche, reprenez confiance. Rien n’est perdu.
Des situations récentes, où la confusion l’emportait sur le dialogue, ont débouché sur des solutions acceptables par tous.  Ainsi la Côte d’Ivoire, où deux présidents rivaux se bastonnaient la couenne, égorgeaient le tout-venant et se chamaillaient tels sépharades et ashkénazes à la sortie des soldes chez Shalomtex. Eh bien, c’est arrangé. Il n’y a plus aujourd’hui qu’un seul président, formidable, et l’on peut de nouveau réserver une piaule à l’hôtel du Golfe, sans risquer d’être bazooké dans la salle de bain.
En Libye c’était du kif. On a longtemps cru que les rebelles pourraient l’emporter mais à présent, toute confusion est levée. Ces gars-là, des minus, ne seraient pas même capables d’entrer à l’Olympia un soir où ça pousse fort sur le boulevard. A notre tour, nous devons sortir de la crise. Voilà pourquoi nous implorons les troupes de la force Licorne de neutraliser les armes lourdes du FSJU : inertie, double langage, sourires fats, promesses bidons, courte vue, bourrage de mou et enfumage bureaucratique.
En attendant, nous tenons bon, pareil aux défenseurs de Misratah, avec la crainte, tout de même, de voir l’affaire tourner Misratatouille.



Signé Trelogus !

La tour Trelogus à Niort, un ensemble architectural de première force.
Aucun immeuble au monde n'a utilisé autant de briques en si peu de temps. C'est phénoménal.

De nouveaux services à l'usage de nos adhérents.

Pour nous joindre, rien de plus simple :  une équipe de standardistes est à l'écoute. Ici, une vue typique de notre pôle "communications" pendant la pause déjeuner. Le team attend vos appels.  

Dernière minute !


Nous avons payé cher notre indépendance.
Avoir refuser de choisir entre messieurs Gbagbo et Ouattara nous a valu la visite musclée des sous-of de la force Licorne. Les bureaux de trelogus.com ont été tagués à la bière. Les dégâts sont inestimables. Portes-fenêtres enfoncées, statuettes fracassées, guéridons réduits en petit bois…Nous sommes à la recherche de gonds en laiton modèle "Chambord" introuvables sur le marché de brousse. Si tu en as, téléphone !

mardi 12 avril 2011

Dans notre série " Jeux et rébus"

Antilogus et Trétiack sont cachés dans ce sympathique groupe de touaregs. Saurez-vous les repérer ? Un indice :  ils n'ont pas de cravate. Les cent premiers gagnants décrochent un voyage en autocar.

Dans notre série : " C'était mieux avant "

Des aliments "nature", sans sauce et joliment présentés. Détail croustillant : l'assiette mesure 1,60 m de diamètre ! Il y en aura pour toute la famille ! 



Dans notre série "Surgis des Archives"

L'insoutenable vérité : même les voitures étaient déportées dans les camps.
 Un secret bien gardé par les grands constructeurs.

Dans notre série " Le monde est comme ça "


Document-choc : Dans un instant, cette femme va se faire voler son sac. Et personne ne va bouger. Ecoeurant.

mardi 22 mars 2011

Dans notre série " C'était mieux avant "

Une vue du boulevard Haussmann au temps béni de l'Union de la Gauche. Rue large et aérée, peu de trafic, pollution zéro. Même le petit crachin n'entame pas le moral de cette passante gironde, bien résolue à faire voter, à main levée, le SMIC à 12,30 balles.  Ah, décidément, c'était mieux avant !

Dans notre série " C'était mieux avant "


L'homme moderne, harcelé par un état inquisiteur, est sommé, chaque jour et même chaque nuit, de choisir entre une bonne biture et une virée en bagnole. On savait pourtant, autrefois, que l'une ne va pas sans l'autre et qu'un petit remontant évite bien des assoupissements dans une ligne droite. Alors boire ou conduire, pourquoi choisir ? Nos grand-parents étaient-ils plus cons que nous ? N'avons-nous aucun respect pour les anciens ? Monsieur le chef de l'Etat, si êtes vraiment soucieux de l'apport chrétien à la grandeur française, vous ne devriez pas fouler aux pieds les confréries vinicoles et les syndicats de bistrots. Sinon, sachez-le, ça finira mal ! Ah, décidément, c'était mieux avant.

Dans notre série : " C'était mieux avant "

Un monde arabe souriant et sympathique, voilà ce que nous avons connu dans les années 70/80. Nos amis les Musulmans, loin de sombrer dans la violence politique ou religieuse, appréciaient encore le sport et l'élégance  "black and white". Ici, au Stade Vélodrome, un malicieux supporter de l'équipe de France salue façon De Gaulle, un dribble cadré pleine poire de Monsieur Zidane. Sa petite serviette de tête, nouée à la bohème, lui confère un style à la fois chic et décontracté. Ah, décidément, on savait rire dans les années 70 !

mardi 15 mars 2011

Cette semaine un message d'espoir. Alors que tout va mal dans le monde, nous avons nous, Français, une raison de bomber les épaules : une femme exceptionnelle Mama Carla !





NOUS SOMMES TOUS DES CARLA BRUNI




                 Carla Bruni à la dernière Mostra de Venise photographiée par David Hamilton :      
un certain sourire

A la stupeur générale une femme magnifique, talentueuse, gracieuse et souple sur ses appuis est devenue la première Dame de France. Immense fierté pour un peuple qui depuis toujours a fait de la quête de la beauté un véritable sport national.
Oui, nous sommes fière, Carla, de t'avoir comme ambassadrice. Grâce à toi, notre président, naguère moqué pour son allure générale un peu « manque de jambes », est accueilli partout comme un Casanova moderne, un athlète de la drague, le séducteur universel. La chenille gris-costume de Neuilly est devenue un magnifique papillon élyséen qui volette tel un étendard sous les lambris dorés de la République. Les autres chefs d'État en sont verts de jalousie et plus d'un monarque hésite désormais à exhiber sa mousmé approximative dans la lumière des spot-lights. La Begum ? Dégommée ! La Chabanou ? Bananée ! La tsarévitch ? Va te faire foutre ! La France a retrouvé une reine et c'est une reine de beauté. Bravo, monsieur Sarkozy ! Et merci au nom de tous les contribuables.
Certes, les Premières dames de France ont toujours été des femmes splendides. Ainsi Yvonne De Gaulle, mal gaulée mais bien gaulliste. Claude Pompidou, belle pouliche dans le genre grand cheval. Anne-Aymone Giscard d’Estaing, la bourgeoise de province irrésistible quand elle passait l’aspirateur en string. Qui sait aujourd’hui que « Le Passage », le croustilant roman leste de son époux VGE, devait à l’origine s’intituler « Le Passage de l’Aspirateur » ?
L’intello Danièle Mitterrand paraissait plus austère, mais lors de ces séjours à La Havane, avec trois mojitos dans le pif, elle séduisait mieux que personne les Barbudos en dansant la Lambada sur le Malecon. Quant à Bernadette Chirac, parfaite incarnation des beautés du Massif Central, elle faisait tout de même dans un registre plus massif que central.
Chez Carla, aucune de ces réserves, aucun défaut, c’est « rien que d’la bombe ».

Avec Bernadette il y avait maldonne,
avec Carla il y a madone

Françaises, Français, il faut maintenant nous montrer dignes de notre Carla nationale. Nous devons nous hisser à sa hauteur, la prendre comme modèle - comme top model -, rivaliser de charme et d'élégance pour lui renvoyer une image de beauté et d'harmonie. Cette femme nous donne tant ! Il est bien normal qu'on lui retourne l'ascenseur…
Avec Carla la France a une mission :
réembellir the world !

Ça ne va pas se faire tout seul.
Observons la rue française. Oh là là… Où est passé le bon chic qu'on nous enviait de Caracas à Oulan-Bator ? Des blousons courts, des cols à manger de la tarte, de la petite godasse à deux sous, du falzar flottant et de la jaquette du même métal ! Au secours, Yves Saint-Laurent, reviens ! Ils sont devenus fous !
Les dames ne se maquillent plus - ou trop -, les messieurs abusent de gomina et d'eaux de toilette tue-mouches… L'ensemble donne une impression de négligé, de relâché, de fripé, à croire qu'on a oublié un des plus beaux mots de la langue française : « pressing » !
L'émergence triomphale de Carla Bruni n'est pas seulement une divine surprise. Ce doit être aussi pour les Français l'occasion de se ressaisir, de devenir magnifiques et d'illuminer la planète entière de leur splendeur retrouvée.
Chers compatriotes, désormais un seul mot d'ordre :
Nous somme tous des Carla Bruni

mardi 22 février 2011

Notre rubrique C'ETAIT MIEUX AVANT

Table de travail d'un écrivain moyen pauvre avant la révolution informatique.
Typex, clopes, Quid, machine à écrire à chariot lourd, surligneurs, blocs, ciseaux et colle. il y fallait un matériel énorme mais bien plus convivial que les écrans glacés des ordinateurs cannibales. Ah oui, c'était mieux avant !
Ambiance festive d'un soir de steppe ukrainienne. L'homme à l'accordéon est probablement mort depuis. Mais quel swing il avait, la vache !

lundi 14 février 2011

Enfin, après des années de tergiversations, de tentatives infructueuses et d'essais avortés :
 Pierre ANTILOGUS et Philippe TRETIACK ont le bonheur d'annoncer au monde libre la création de leur blog :
                                             trelogus.com

D'ici sous peu, des articles fins, des photos cocasses, des points de vue de première salve, des livres de table, un soupçon d'élégance à la française, bref que du surchoix. A bientôt et restez à l'écoute…