mercredi 22 janvier 2014

Des nouvelles de votre blog favori

Après des mois de silence, le blog-robot Trelogus.com a été reboosté dans l'espace par une équipe d'ingénieurs stagiaires. A nouveau, des images nous parviennent des quatre coins de la galaxie.
Quel choc !

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Trelogus.com racheté par des fonds qatari ?


L'émir Selim Pourzat Ibn Seoud met clairement fin aux rumeurs en déclarant :
ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE !

Nous continuerons donc, pour l'exercice 2014-2015, a être financés par la Mutuelle des Gueules Cassées de la Somme, la MGCS. Dommage !


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Une bonne nouvelle pour les gros  

Trelogus.com s'associe à la campagne contre l'obésité avec l'installation dans la cour du 17bis, d'une pompe à bourrelets. 



Gratuit les six premières minutes. Un beignet de survie sera servi en salle aux affaiblis.  

L'innovation technologique au service de la diététique. 
Trelogus :  tout un état d'esprit.



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Les bonnes adresses Trelogus : le Blue Lagoon.




Chaque soir dès 18h30, Jacques, le sympathique barman vous accueille dans le bar Pullman pour vous servir ses délicieuses spécialités. Atmosphère chaude et sensuelle. Musique d'ambiance, effeuillage sexy par des professionnelles. Tout pour passer une excellente soirée à Châteauroux.
-  Accessible par autoroute.
- Discrétion assurée. 
- 10% de remise sur les crackers avec la carte Trelogus-Fidélité.
- Entrée gratuite pour les militaires.
- A ne pas manquer, tous les samedis à 23 h :  La Compétition Quizz "Chauves contre Barbus" animée par Fredy Losseran et ses Poupoune Girls. Hilarant ! 


mardi 9 avril 2013


                Après le cas Huzac, le cas Rabbin ?






Tous pourims ?


La ficelle est énorme, la manoeuvre grossière et une fois de plus la communauté se retrouve en première ligne des « crachés dessus ». Pour étouffer le cas Huzac, cet Arsène Lupin du XXIeme siècle qui ridiculise la classe politique toute entière, on s'en prend, une fois encore, au bouc émissaire traditionnel : le Sémite sans défense, les bras tout empêtrés de ses ballots de schmatès, et qui, titubant devant la concurrence pakistanaise, est bien incapable de rendre les coups. Circonstance aggravante, cette fois, on s'attaque à la tête de l'ogive communautaire, le Grand Rabbin Bernheim, homme d'étude et de concorde, souple d'esprit et vif en dialogue. C'est une honte !
De quoi l'accuse-t-on ? D'avoir un compte en suisse comme tous les ministres, députés, sénateurs, préfets, sous préfets et coiffeurs ? Non point ! De bidouillages réitérés dans les paradis fiscaux ? Pas davantage. De rendez-vous crapoteux dans les hôtels façon qui vous savez ? Pas plus. Non, on l'accuse, lui, le crâne d'oeuf, d'avoir plagié, copié, collé des ouvrages de salle, des pensums en six volumes, des in-octavo de première bourre. Bref, notre bien aimé Pape à nous est traîné dans la bouse comme un vulgaire Jacques Attali. Injustice ! glapissons-nous. Ca suffit ! Regardez d'abord chez vous, accusateurs impies !
Car tout de même, qui qu'a copié sur l'autre ? Hein ? Votre Nouveau Testament, amis chrétiens ne serait-il pas par hasard légèrement inspiré par notre Ancien Testament ? Et ce Coran, électrique, dont se prévalent nos amis musulmans, ne serait-il pas, lui, un remake très oriental, des deux précédents ? On fait moins le fier, maintenant !
Sans doute notre rabbin a-t-il été trompé par son entourage cosmopolite, tel un Benoît XVI poussé vers la sortie par des cardinaux carnivores. En outre, et bien qu'ashkénaze, le Grand Rabbin Bernheim a fait montre, dans cette affaire, de ce qu'il y a de meilleur chez les Séfarades justement, un sens de la roublardise, une faconde comme là-bas, une capacité à faire suer le burnous à des grappes d’étudiants sous payés, à des stagiaires pressés comme des citrouilles. Sous l'intitulé  « 4O méditations juives » (Stock éditeur) il fallait lire évidemment « Ali Berheim et les 40 méditations ».  En vérité, le Berheim a synthétisé dans sa modeste personne, la double flèche de la pensée judaïque mondiale. Chapeau l'artiste ! On dit en sus, qu'il ne serait pas agrégé de philosophie, titre dont il se serait prévalu. Quelle importance vraiment ! En tout Juif ne sommeille-t-il pas un Platon, un Spinoza, un sage capable d'embobiner le client jusqu'à qu'il s’achète un rossignol qui croupira dans son placard ? Bref, ce Bernheim est un type formidable, un escroc sympathique.

Qu'attend-t-on pour le faire entrer au gouvernement ?

lundi 25 mars 2013


Antilogus Trétiack commentent l'actualité
Semaine du 25 mars au 1er avril

Après l'agression du RER de Grigny…
Tous nos conseils pour défendre son wagon.




                     Sauront-ils résister à l'assaut des capuchons ?
                                 Hélas, rien n'est moins sûr



En tant que petits fils de déportés notoires nous nous sentons autorisés à prodiguer des conseils ferroviaires à nos amis banlieusards. Soumis démuni face aux cagoulards briseurs de vitres et vifs des poings, l'usager RATP-SNCF fait souvent figure de zébu livré aux mâchoires des caïmans : une vraie quiche à dévorer en pack. La récente agression de Grigny, que la presse a qualifiée d'attaque façon Far West, a démontré la vulnérabilité du matériel roulant. Nos wagons ne sont pas conçus, et c'est regrettable, pour résister à des essaims d'assaillants armés de barres de fer et de bombes lacrymogènes. Zéro blindage, aucun sas de protection et dans le lot, pas un guss qui ait des couilles. Ce jour-là, sur la ligne, l'issue du schpounz ne faisait aucun doute.  Les passagers trappés dans le Grigny Nanterre étaient voués à la boite à gifles, aux béquilles. Total,  ils se sont faits soulager de leurs bijoux, gourmettes, portables et portefeuilles. Déjà pas bien riches en montant dans la rame, les malheureux en sont ressortis essorés, comme des nazes. La honte !
Ceci ne doit plus se produire.

La science du wagon acquise par nos aïeux dans les heures de l'Occupation, quand Gestapo et SNCF marchaient roue dans roue, doit aujourd'hui servir à tous. Le provincial monté à Paris, le visiteur occasionnel, la prostituée en quête de micheton ou les teuffeurs en retour de boîte ont le droit eux aussi de se déplacer sans risquer une tête au carré., un cravatte et des manchettes.

Nos conseils : dans chaque voiture on nomme un chef de rame, qui peut changer à chaque station, au gré du trafic et des allers et venues. Dès lors, le chef de rame, hissé sur un strapontin et muni de jumelles scrute les voies, sifflet en bouche, prêt à alerter ses congénères qui se tiennent tapis sous les banquettes.  Au moins signe suspect : feu sur la voie, sirène stridente, présence d'encapuchonnés sur les quais, jets de fumigènes… le type lance l'alarme traditionnelle : "gaffe !" Aussitôt, les victimaires se précipitent aux vitres  pour contrer la poussée des jeunes. De forts coups d'attaché-case sur les phalanges des agresseurs doivent suffire à les faire choir sur la voie, et tant pis si le Sartrouville-Créteil passe à ce moment en sens inverse. Ca va hacher menu. Si malgré tout, un groupe de prédateurs en jogging parvient à forcer une porte, les gros du wagon (car il y a toujours des gras du bide dans un wagon, et surtout sur la ligne Grigny-Nanterre où le snacking compose l'ordinaire du Pékin (à Grigny, on grignote), les gros donc s'élancent en avant pour colmater la brèche de leur corps, dans un suprême sacrifice. Oui, Messieurs les râleurs, il y a encore des héros en France.

Si jamais plusieurs portes cèdent, ouvrant l'allée centrale à la horde en survêt, les défenseurs du wagon, sans jamais lâcher leur carte Navigo – car la loi doit s’appliquer pour tous -  se replient en bon ordre et en chantant la Marseillaise. En cas de siège qui s'éternise, wagon cerné sur une voie de garage, l'essentiel est de rester calme. Un passager moyen, en bonne santé, peut tenir 72 heures en buvant son urine, filtrée dans la mousse des sièges. Si certains ont sur eux quelques vivres :  sodas tièdes, sucreries, ships, sandwichs Sodebo, M&M's, pizzas et kebabs, le chef de rame, s'il n'a pas été lynché à coups de casque, organise la mise en commun et le rationnement lipidique des substances de bouche. Le but, après intervention de la RAF, est que chacun puisse rejoindre Londres en bonne santé.
Voilà, nous espérons avoir été utiles avec ces quelques conseils de bon sens.
Et rappelons surtout que le meilleur moyen de ne pas être agressé dans le métro, c'est encore de prendre sa bagnole. Vraoooumm !

mardi 19 mars 2013


Antilogus Trétiack commentent l’actualité.
Semaine du 18 au 24 mars 2013.

Après la viande de cheval, la scandale Chavez !

Les carnivores ne sont pas à la fête. Depuis quelques temps la filière protéines animales est l’objet d’un tsunami de bévues. Mélange des morceaux, stocks comprimés aux culs des camions, présence de sabots dans le T bone steack, porcs chinois à la dérive sur le Hangpu et pour achever le client, cette nouvelle déprimante, les chairs du bien aimé Commandante Chavez n’ont pu être maintenues d’une pièce. Nécroses, abrasions, hématomes, la carcasse présidentielle s’en est pris plein la figure. Au point que les thanatopracteurs guatémaltèques ont dû renoncer à embaumer l’artiste. Résultat, les masses laborieuses des bidonvilles les plus croquignolets seront privées de momies, alors que ces gars-là en raffolent. Comment un tel fiasco a-t-il été possible ?  Enquête exclusive.
Au départ un macchabée comme vous et moi, tout à fait présentable. Presque souriant, « tout rose et tout mignon ». Seulement voilà, l’ambiance football des obsèques, le défilé permanent des peones dans la chambre mortuaire, l’atmosphère empuantie par les fumeurs de Renitas, tout cela a corrodé la couenne du défunt leader. Alors qu’il aurait fallu claquemurer le Commandante dans une prison de glace façon Lénine, la pauvre dépouille bolivarienne a sué sang et eau sous l’implacable soleil mexicain. Total, des écoulements suspects sous le drapeau national et l’impossibilité de rendre à Hugo Chavez, fort bel homme de son vivant, les apparences d’un type à la cool.
Les « spécialistes » prétendent aujourd’hui qu’il est trop tard pour rechaper le héros décédé. Faux ! Il existe une méthode, infaillible  qui restaurait le joufflu dans son intégrité corporelle. L’empaillement à la Zapata, dite aussi « portefeuille tacos ». Il s’agit de plonger vite fait bien fait le claqué dans un bain de pimentos à 60°. Déjà l’animal reprend des couleurs. Puis, un fort badigeon de guacamole pour retendre le cuir. Ensuite tequila pour tout le monde, car osons le dire, la manoeuvre est éprouvante. Une fois bien regonflé, on sèche le corps dans la Sierra Madre et on le roule dans une tortilla géante qu’on aura au préalable farcie d’oignons et de tomates. L’important est que le visage de l’embaumé émerge dans une échancrure de la pâte. L’effet est saisissant. Pour assurer une bonne maintenance de la conservation, il faut changer le taco tous les six jours, ce qui ne se fait pas sans un fort enthousiasme révolutionnaire. Bien qu’on l’ait caché longtemps, la grande cuisine exotique rime bien souvent avec momification. Ainsi Mao Ze Dong repose aujourd’hui dans le caveau des Nems où les plus hauts dignitaires viennent régulièrement l’asperger de Nuocman.  Certes, le projet initial était de le laquer comme un canard mais hélas une violence bousculade autour des bacs à canards a rendu la recette illisible  par chute dans les bains de sauce. Au rayon des fourrés célèbres, rappelons que Lénine barbotte depuis sa mort dans un borsch riche en crème fraîche, que Kadhafi est conservé dans la semoule, et que Ben Ali se cacherait aujourd’hui dans un baklava géant semi enterré à la sortie de Ryad.Bref, amis vénézuéliens ne désespérez pas.
A Caracas, rien n’est perdu pour la carcasse.

Photo
Le commandant Chavez tel qu’il devrait être conservé pour l’éternité. Joufflu, persuasif et tout rose et tout mignon.

mardi 24 mai 2011

Chronique de l'Arche : DSKtastrophe

Personne ne l’a remarqué et pourtant ça saute aux yeux : entre femme voilée et femme violée, il n’y a qu’une inversion de lettres. Comme par hasard. De même, entre DSK et JFK, très peu d’écart. Bizarre, non ? Tout cela renifle décidément le coup fourré, monté, et même le cou farci comme autrefois dans le ghetto de Lodz. Bref, ça sent mauvais pour nous les Juifs. 
Nous avions déjà ici-même tiré la sonnette d’alarme, dit combien la nomination de notre ami Dominique au FMI nous semblait susceptible d’attirer sur la communauté tout entière les foudres de nos ennemis les plus pugnaces, musulmans, altermondialistes, femmes de ménage, etc… On remarquera au passage qu’entre ménage et manège, il n’y a pas grande différence. Comme par hasard. Et bien voilà, on y est, c’est le grand souk, le bazar, la « niqba » ! 
Voyons les choses en face : tout est fait pour piéger le juif. Quand il se montre puritain, discret, sanglé sans son caftan poussiéreux, on lui reproche de ne pas vouloir s’assimiler. Mais quand il montre une appétence toute tricolore pour le beau sexe, qu’il joue les séducteurs dans la pure tradition rabelaisienne et gauloise, patatras, on l’incarcère ! On le grandjuryse, on le prosécure, on lui fout la honte. Après le FMI, le FBI ! Faudrait savoir.
Notre camarade Dominique voulait appliquer le programme socialiste à pleines mains. Nous risquons aujourd’hui le pogrome en pleine gueule… Dans la rue juive, les play-boys rasent les murs, les judaic lovers la jouent anthracite, c’est la revanche des petites bites du FSJU. La clientèle ne se bouscule plus chez la marieuse Ida Burnstein. Toutes les photos de pin-up ont été déscotchées vite fait du Mur des Lamentations. On est passés de la stricte observance au district attorney. Sinistre mois de mai. 
Il ne nous appartient pas de dire si DSK est casher ou pas - laissons cette question à la commission rabbinique ta mère -, mais une chose est sûre : il a fallu payer casch. Et cher. CQFD. Quand on pense à tout ce qu’on aurait pu faire pour relancer l’Arche avec ces masses de pognon, on s’en mordille les poings. Avec toutes les patates qu’on se prend dans la poire, il ne faudrait plus parler du centre Rachi mais du centre Rachi parmentier !
Il faut rester unis - comme les chemisiers de Ted Lapidus collection 80. Car le magmas boueux des perfidies antisémites risque d’éclabousser les pare-buffles de nos Porsche Cayenne. Voyons plutôt le bon côté de l’affaire : un juif a prouvé, une fois pour toutes, qu’il pouvait lui aussi se conduire comme un goy - et un sérieux. Bien évidemment, toute notre sympathie va à la victime présumée. La nombreuse communauté juive de Guinée - qui a fui dans la jungle après l’incident - compte prochainement débarquer sur Broadway pour mettre les choses au clair. Madame Sinclair peut préparer son carnet de chèques - qu’elle sache dès à présent que nous sommes acheteurs d’un Cézanne (un grand dans des tons chics, c’est pour aller avec une Buick). 
DSK ne remportera donc pas les primaires, mais rayon primate, il s’impose haut la main. Et le reste. 

mardi 10 mai 2011

Dans notre série : "Sous le turban"

Pour la première fois révélée au monde : la vraie coiffure de Ben Laden.
D'après Jacques Dessange, "la coupe de cheveux en dit long sur le zèbre.  Sous le terroriste sanguinaire, se cachait un romantique un peu fleur bleue. Le défaut de la cuirasse : des mèches rebelles qui ne pouvaient que déplaire à la CIA. D'où l'enchaînement tragique…"

Alerte conso !!!!

 MIAM… Attention, il n'y en aura pas pour tout le monde.